Réponse de l'intéressé :
"je n'ai pas rejoint le MoDem ...
...Pour ma part, je me situe clairement dans la majorité présidentielle. Issu d'une famille gaulliste - mon grand père était Compagnon de la Libération - j'ai acquis très jeune une "certaine idée de la France" et des convictions fortes, peu compatibles avec les cuisines et les calculs des appareils politiques. J'ai ensuite eu la chance de travailler auprès de grandes figures politiques telles que Pierre Messmer ou Jacques Baumel."
Toujours est-il que FMC ne reconnaît plus la légitimité de Sylvie Cancelloni, en tant que chef de file du Modem
("il y a bien deux élus MoDem au Conseil municipal : Sylvie Cancelloni et Robert Bernasconi"),
élue au Conseil Municipal et chef de file provisoire du Modem après les élections municipales
(au même titre que Stéphane Audru l'avait été - de façon provisoire lui aussi -après les législatives; celui-ci n'ayant, en revanche pas été élu) après l'avoir reconnue quand cela l'arrangeait... avant son élection (la preuve : il a accepté d'être numero 5 sur la liste de "Puteaux Ensemble", là où Sylvie Cancelloni figurait en numéro 2).
Il est à préciser que Robert Bernasconi fait l'objet d'une mesure de suspension :
Cette mesure est contestée par celui-ci qui affirme, le 10 avril 2008 :
"Je ne fais l'objet d'aucune demande de suspension actuellement...Une fois de plus, Madame Cancelloni lance une contre-vérité.
Vous pouvez contacter le MODEM ou mon avocat, Me de Lagausie, avocat à la cour de Bordeaux, qui confirmeront mes dires.
Je connais votre honnêteté et je trouve dommage que votre blog relaie de fausses informations même avec précaution.
J'attends une rectification de votre part et je me tiens à votre disposition.
Robert Bernasconi, élu et conseiller municipal MoDem de Puteaux."
Le courrier n'étant pas signé de Sylvie Cancelloni, mais de Philippe Arnaud, il ne s'agit donc pas d'une contre-vérité ...
Laissons le Modem "régler en interne" ses problèmes qui ne regardent que lui.
Le Modem, en pleine reconstruction, invite, dans un esprit de paix, tous ses adhérents et sympathisants à une réunion le 17 avril 2008 à 20h à la Brasserie "le Bellini", 3 rue Bellini à Puteaux, bien sur !
M. Chevalier s''est fait élire grâce -entre autres - à l'appui du Modem et de sa "Chef de file" Sylvie Cancelloni.
Il s'arroge maintenant le droit de légitimer quelqu'un d'autre comme "chef de file", APRES SA PROPRE ELECTION ET NOTAMMENT GRACE A ELLE.
M. Chevalier, s'il avait tenu ses engagements, aurait pu participer à cette réunion du 17 avril...
Il a sans doute voulu et réussi à faire du buzz ; serait-il plus "webmarketer" que politicien ?
NDLR : toutes les affirmations de ce post sont des faits que vous pouvez-vous même vérifier en cliquant sur les différents liens ci-dessus (Blogs du Modem et de FMC).
Bernard,
je ne légitime personne comme chef de file du MODEM. Ce n'est pas mon affaire, je n'en n'ai pas le pouvoir, je n'en n'ai pas non plus l'envie.
Bref, la vie de ce parti auquel je n'appartiens pas m'importe peu. Contrairement à ton titre, je n'ai d'ailleurs pas changé d'avis. On m'a demandé de rejoindre le MODEM le jour du premier conseil municipal et j'ai indiqué dès ce soir là à Sylvie Cancelloni et aux autres élus de Puteaux Ensemble que cela ne me paraissait pas opportun. Je n'ai pas bougé de cette position.
Je conserve respect et affection pour Sylvie Cancelloni.
Frédéric Chevalier
Conseiller municipal de Puteaux
Rédigé par : Frédéric-Michel Chevalier | dimanche 13 avril 2008 à 17h02