Dans le cadre des restructurations annoncées il y a quelques jours par Nec prévoyant la suppression de 20000 emplois dans le monde, 387 postes devraient être concernés en France, annonce le groupe japonais. Principale victime: le site d'Angers où avaient lieu, jusqu'à présent, l'assemblage et la production d'ordinateurs. Celle-ci devrait s'arrêter d'ici à mi-2010, entraînant la suppression de 334 emplois. Une cellule technique de 28 salariés, consacrée aux serveurs, devrait toutefois poursuivre son activité sur ce site.
Le siège de Nec, basé à Puteaux, dans les Hauts-de-Seine, devrait, quant à lui, perdre 53 salariés.
De son côté, le constructeur informatique Packard-Bell, propriété du groupe taïwanais Acer, avait annoncé à la mi-janvier, la suppression de 100 emplois supplémentaires dans son usine d'Angers, dans le cadre d'un plan social portant sur 143 des quelque 300 emplois angevins.
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